Le poulailler

14 06 2020

Depuis 3 semaines, j’ai des poules. Il y a un coq, Gaston, une poule sussex, Opale et une coucou, Tourmaline. Le poulailler est grand, elles s’y sont adapté rapidement, leur parcours fait environ 150m². Le coq chante 4 ou 5 fois par jours, Opale est la reine de l’illusion, un coup elle est là, un coup elle n’est plus là. On la cherche, partout, on repasse plusieurs fois et on ne la trouve pas. On repasse, hop ! Elle est là !

Mais depuis le début, je ressentais qu’il fallait 1 ou 2 poules de plus, alors hier, ni une ni eux, j’ai acheté 2 poules rousses de réforme, Rosita, à la crête qui forme une frange sur le coté de sa tête, palote, elle n’a pas l’air en forme et Pepita à la crête bien dressée, beaucoup plus vive. Contrairement aux premières poules fières et caquetantes, elles sont silencieuses, et restent en boule dans le carton qui sert à les transporter.

Lorsqu’on rajoute des poules, j’ai vu un peu partout qu’il fallait une période d’adaptation, séparer les animaux le temps de faire connaissance. Je n’en ai pas ressenti la nécessité. Je suis entré dans le parcours avec la boite de carton, je l’ai posé au sol et à peine ai-je réussi à sortir les 2 poules que le coq c’est rué sur Rosita. Un coup de bec sur la tête et hop le coq lui grimpe dessus et fait sa petite affaire, content, il redescend et parade autour des nouvelles venues. Opale, la sussex, rapplique en caquetant, visiblement, c’est la première dame du poulailler, elle inspecte les 2 nouvelles, caquète de plus belle. Enfin, Tourmaline arrive, se mêle au groupe et repars picorer le sol. Le coq tourne autour des poules, le harem c’est agrandi.

Tout le monde c’est calmé et Gaston décide d’offrir ses services à Pepita. Elle pousse une gueulante et se dégage de l’emprise du volatile. Finalement, en fin de journée, le coq sera accepté.

Le jour s’achève, je vais fermé le poulailler. Le 2 nouvelles sont restées à l’extérieur, je tente de les attraper, pas facile… Finalement, je réussi et je les glisse dans le poulailler. Je ferme, bonne nuit.

Ce matin, j’ouvre le poulailler, comme d’habitude, Gaston, Opale et Tourmaline sont agglutinés sur le même perchoir. Le perchoir d’en face est vide, Rosita et Pépita sont douillettement blotties dans un des couvoirs.





Du PQ dans mes rêves

9 05 2020

Je vais vous raconter quelque chose qui c’est passé quelques semaines avant le confinement. Je ne sais pas si c’est important ou simplement anecdotique, je vous laisse en tirer vos propres conclusions, même si j’ai ma petite idée.

Fin février 2020, j’ai fait un rêve étrange, j’étais dans une ville à la fois connue et inconnue. Connue de par sa structure, ses immeubles, ses longues rues, son ambiance, les quelques rêves dont je garde des bribes se passent souvent dans ce type de mégapole. Inconnue car je ne peux l’identifier, existe-t-elle vraiment ? Est-elle purement onirique ?

J’étais donc dans cette grande ville, quand une peur panique a envahi l’espace, l’air est devenu oppressant, une angoisse profonde m’a saisi, tous ceux qui se trouvaient là se sont mis à courir, je ne sais pas pourquoi, j’ai fait comme eux. Nous nous sommes retrouvés dans un supermarché, identique à ceux que j’ai l’habitude de fréquenter lorsque je suis éveillé. Les mêmes allées, les mêmes rayons, le même sol de dalles couleur crème. Il y avait déjà du monde qui faisait des courses. Nous avons déferlé la dedans, traversant les plafonds, les murs, tel un tsunami incontrôlable. Nous nous sommes déversés à travers les lignes de café, de pâtes, de congelés comme si la mort nous poursuivait. Les clients se sont mis à crier et lâchant leur panier, leur caddy, nous ont imité dans cette course folle qui nous animait. Nous courions de gauche à droite, parcourant tout le magasin comme si nous recherchions quelque chose de vital. Et je suis arrivé devant le PQ. Là, une bataille épique se déroulait, les clients se battaient pour récupérer ne serait-ce qu’un rouleau de papier toilette. Et je me suis lancé dans la bataille, comme eux, j’avais l’intime conviction que ma vie dépendait de cet accessoire anodin. J’ai réussi à prendre un pack et je me suis senti soulagé à un point inimaginable et j’ai couru, le précieux plastique dans les bras comme si je portais mon bien le plus précieux. Plusieurs personnes se sont mise à me poursuivre, l’angoisse est revenue, j’ai couru, me suis retourné en courant pour mettre des mandales magistrales à ceux qui me talonnaient, esquivant ceux qui bondissaient dans l’espoir de saisir mon précieux colis. Et le rêve c’est arrêté.

Je me suis dis que ce n’était qu’un rêve, bizarre mais juste un rêve. Le truc c’est que je ne me souviens presque jamais de mes rêves. Mais ce qui m’a troublé, c’est que j’ai fait ce rêve trois nuit de suite, le même, toujours cette course au PQ salvateur et je m’en suis souvenu à chaque fois.

Alors, imaginez mon étonnement lorsque quelques semaines après, j’ai vu dans les journaux que les gens se ruaient sur le papier toilette pour de vrai.





De passage à Paris octobre 2019

19 10 2019

Je serai à Paris du 23 au 26 octobre. Si vous souhaitez un face à face, une promenade en solo ou en groupe, contactez-moi dès à présent par mail ou par sms.

Vous pouvez me retrouver sur fb en cliquant ici

Et sur Instagram en cliquant ici





La Bretagne ça vous gagne !

29 06 2019

C’était dans les tuyaux depuis un bon moment, le mois de juillet sera marqué par mon déménagement en Bretagne !

Cela fait longtemps que je navigue entre la région parisienne et la Bretagne, un moment que j’en parle à certains d’entre vous, et bien mi-juillet, je m’installe en famille dans les Côtes d’Armor.

Qu’est-ce qui change ?
Les CONSULTATIONS téléphoniques restent identiques, vous pouvez m’appeler sans rdv, si je suis dispo, je répond, sinon inutile de laisser un message, rappelez un peu plus tard. Si vous ne réussissez pas à m’avoir, c’est peut-être le signe que vous n’avez pas besoin de moi. Comme je suis un brin paresseux et que je ne veux pas me lancer dans des calculs défiants mes capacités intellectuelles, le tarif reste à 1€ la minute, profitez-en, c’est vraiment pas cher comme dirait mon fromager !
S’ajoute à cela SOS ANCRAGE, comme précédemment, vous appelez sans rdv ou envoyez un sms, je vous remet votre ancrage et si besoin réaligne vos corps énergétiques. Lorsque c’est fait, que vous sentez le résultat, vous êtes tellement contents que vous ne pouvez vous empêcher de me faire un don via paypal (le petit bouton à droite). Venez tester si vous ne me croyez pas.
LA QUESTION QUI TUE ! peut devenir une affirmation ou une phrase en fonction de ce qui se présente pour vous au moment où vous faites la demande. Le tarif ne change pas, c’est toujours 5€. Petits veinards !
Je vais revenir régulièrement en région parisienne, j’indiquerai les dates sur le blog, abonnez-vous si ce n’est pas déjà fait, vous les recevrez par email, sinon vous pouvez aussi apercevoir mes posts sur FB. Les FACE A FACE auront lieu à ce moment là, il vous suffira de me contacter pour fixer un rdv autour de Montparnasse. En ce qui concerne les BALADES, les RENCONTRES de groupe, comme je le disais plus haut, je suis un peu paresseux, du coup, je vous laisse les organiser après m’avoir contacté. Il vous suffit de former un groupe de 3 à 10 personnes, de choisir entre une balade dans la nature, une déambulation en ville, une rencontre sur un sujet que vous souhaitez explorer ou des questions/réponses.
Actuellement, il n’est pas prévu que je reçoive en cabinet, donc si vous souhaitez ce type de rdv, cela peut se faire dans un lieu à définir lors de la prise de rdv.
Enfin, je réfléchis à certaines choses que j’aimerai mettre en place, je vous en reparlerai quand ce sera plus précis.

En attendant, vous pouvez me suivre sur instagram, facebook et youtube. Si les sujet d’actualité, de société, politiques, etc. vous intéressent, vous pouvez aussi jeter un oeil en cliquant ici, pas d’inquiétude, contrairement aux manifs gilets jaunes vous pourrez le récupérer en partant.
N’hésitez pas à commenter, à partager et n’oubliez pas de RIRE, de VIVRE et d’AIMER !





Petites énergies du moment

14 02 2019

Je pourrais parler d’astrologie, de channeling, de tirages de cartes ou de mon inspiration personnelle. Mais, je préfère vous parler de ce que tout le monde peut voir quelque soit la qualité de notre éveil.

Pour cela, il faut apprendre à regarder ce qui se passe autour de nous et avec les moyens technologiques d’aujourd’hui, sans trop d’efforts on obtient de quoi se faire une idée générale de ce qui se joue un peu partout dans le monde.

Si je dois résumer, ça ne tend pas vers la rigolade. En gros, on est dans un flux de changement, gros changement et partout ça résiste. Partout que ce soit l’autorité qui pousse au changement ou bien les individus, ça accroche, ça lutte. Parfois même, il semble y avoir un double changement, ceux qui ont le pouvoir veulent changer les choses et en face les individus se battent pour changer autrement. Il est donc bien évident que l’heure est à la transformation. Quand celle-ci est accompagnée, comprise et acceptée, tout va bien. Par contre, quand il y a une partie qui refuse d’avancer, on se retrouve dans une situation où les manifestations, puis les émeutes, puis les révolutions et même les guerres finissent par s’exprimer.

C’est exactement ce qu’il se passe pour beaucoup d’entre nous, nous avons compris beaucoup de choses sur le fonctionnement de l’univers et par voie de conséquences sur nous même. Pour beaucoup, nous avons analysé les causes de ce qui dans notre vie ne fonctionne pas. L’étape en cours aujourd’hui, c’est de changer ce qui ne fonctionne pas, mais pour cela encore faut-il que l’ensemble qui nous compose soit d’accord pour avancer dans la même direction en abandonnant ce qui n’est plus utile, même si c’est une chose à laquelle on tient. Et ça malheureusement, ce n’est pas facile. Alors, on crée de la résistance, pas pour nous nuire, juste parce qu’on avance et que des parties de nous sont encore scotchées sur le passé. Alors, comme pour le macro(n)cosme dans lequel nous vivons, il y a des luttes, des émeutes, des révolutions et parfois des guerres. Parfois on y laisse une partie de nous, physique, émotionnelle ou spirituelle. Un peu comme certains manifestants.

Ce qui est évident, c’est qu’on n’arrête pas l’évolution, nous pouvons juste trouver le courant qui nous permet d’avancer dans de meilleurs conditions ou alors choisir de lutter jusqu’à épuisement contre cette force qui nous dépasse. C’est ce qui se passe avec les gilets jaunes. La transformation de notre société est inéluctable, le choix que nous avons est celui du chemin que nous voulons emprunter.

Que nous le voulions ou non, nous faisons tous partie de cette lutte, ce qui s’exprime autour de nous n’est que la version 3D de ce qui se jouent en nous et dans toutes les dimensions auxquelles nous sommes connectés.

Certains d’entre vous le vive de manière plus personnelle, par le biais d’un mal-être, de symptômes plus ou moins désagréables, de maladies, ou de lutte pour la survie. Si vous êtes dans ce cas, sachez qu’il vous faut changer et ce n’est pas juste aller chez le coiffeur, mais vraiment faire volte-face et reprendre votre vie totalement différemment.

Pour les gilets jaunes et la société en générale, c’est la même constatation, c’est fini le temps où on collais un patch, ou on votait pour le parti opposé pour espérer améliorer nos conditions d’existence, toutes ces demi-mesures ne fonctionne pas. Alors vous pouvez continuer à quémander un petit truc en plus ou un peu de compassion, face à vous il y a l’adversaire indispensable pour que vous preniez conscience qu’il faut changer tout, vos attentes, votre vision du monde, votre appréciation de vous même et du rôle que vous jouez ici et maintenant. Comme certains d’entre vous l’on compris, ce n’est pas que pour vous que vous vous battez, c’est aussi pour les générations futures. Nous sommes au moment précis ou l’humanité peut remettre l’humain à sa juste place en harmonie avec la Nature. Car pour tout le monde, c’est ce qui se joue aujourd’hui, après des générations de dissonance, c’est le moment de remettre de l’harmonie ici, sur Terre. Les forces qui sont opposées à cela, ont pourtant dans l’absolu le même but, obtenir l’harmonie, mais leur approche est différente, ils ont choisi de modifier et prendre le contrôle de la vie, de la nature et de l’humanité. Elles ne se rendent pas compte que se qu’elles font c’est renforcer la dissonance avec l’univers. Vous pouvez comme elles, penser que l’homme à la capacité de maîtriser la nature ou au contraire accepter de reprendre votre place en son sein, ce qui ne veut pas dire refuser la technologie, et retourner à l’âge de pierre, mais simplement mettre la technologie au service de la vie et pas le contraire.

Quelque soit le choix que vous faites, allez-y à fond et n’oubliez pas, eux c’est aussi moi. Vous aurez beau lutter contre eux, vous ne lutterez que contre vous-même.

Si le système ne vous plaît pas, remplacez-le maintenant, commencez par vous, puis autour de vous, puis un peu plus loin. Soyez pragmatiques, fixez-vous des objectifs à portée, mettez tous vos efforts à les atteindre. Il y a beaucoup de choses que vous pouvez faire pour combler les manques de ce système en décomposition. Informez-vous, apprenez à devenir autonomes, personne ne peux vivre votre vie à votre place et vous ne pouvez pas vivre la vie d’un autre à sa place. Faites de votre mieux, et prenez conscience de votre progression. Même en pleine inertie, les choses changent, les situations se transforment, vous donnant l’occasion de réussir ce qui jusqu’à présent vous semblait irréalisable.





Généalogie, ADN et racines

30 12 2018

D’où venons nous, c’est un sujet qui m’a toujours intéressé. J’étais très jeune quand j’ai commencé à m’intéresser aux histoires de famille et comme beaucoup de familles ils y a des histoires qu’il faut taire. A cette première frustration, s’en rajoute d’autres tout au long de 40 ans d’interrogations. Mes parents sont nés en Espagne, la généalogie là-bas était peu développée quand j’ai commencé à me poser des questions sur mes ancêtres. Malgré tout, j’ai réussi petit à petit avec l’aide du destin et de quelques membres de ma famille à dresser un arbre généalogique que je nourris dès que je le peux. Il est encore imprécis, ne remonte qu’au milieu du XIXe siècle mais pour moi qui pensais il y a 40 ans ne pouvoir accéder qu’à mes grands parents, c’est tout de même une belle satisfaction.

Toujours dans cette recherche de racines, l’ADN est une voie qui m’intrigue depuis longtemps. Je suis né en France, et c’est la France qui m’a fait grandir, c’est ici que j’ai posé mes radicelles, c’est ici que je me sens chez moi. Cependant, je sens bien que mon ADN est connecté à d’autres terres. L’Espagne, ce que confirme l’arbre dont je parlais plus haut. Tous mes ancêtres indexés jusqu’à aujourd’hui sont espagnols. Leurs patronymes évoquent certaines régions de la péninsule, la Galice et plus particulièrement la zone qui va de saint Jacques de Compostelle au bout du monde. Le pays basque et la côte est, de Barcelone à Gandia. Pourtant, j’ai toujours eu le sentiment que je n’étais pas qu’espagnol. C’est vrai que physiquement je ne correspond pas à l’archétype qu’on se fait de l’Ibère. Mais qu’est ce que l’espagnol si ce n’est un mélange de tous les peuples qui ont terminé leur migration dans cet appendice de terre entouré d’eaux et de montagne.

Au-delà du physique, j’ai toujours eu une attirance pour les peuples du nord, vikings, irlandais, écossais mais aussi pour le Japon, la mythologie grecque et nordique. Probablement comme beaucoup d’entre vous d’ailleurs.

C’est donc avec beaucoup de curiosité que j’ai suivi les progrès des recherches sur l’ADN. Et lorsque certains laboratoires ont commencé à proposer des analyses en vue de déterminer nos origines, ça m’a tout de suite intéressé. Je cogite beaucoup avant de prendre une décision alors cela m’a pris beaucoup de temps avant de passer à l’acte. Bien sur, je suis conscient des usages que peut faire une telle entreprise avec l’ADN de ses clients, mais au diable les craintes et autres limitations, j’ai senti qu’il était juste pour moi de le faire, alors je l’ai fait.

J’ai choisi le kit qui m’a semblé le plus simple et le moins cher, certes il en existe d’autres qui donnent plus d’informations, qui sont plus chers aussi, peut-être que j’y recourrai dans un second temps. Mi-novembre, le kit a été commandé, je l’ai reçu 3 ou 4 jours après, contenu dans une très jolie boîte. On prélève l’ADN à l’aide d’écouvillons que l’on frotte à l’intérieur des deux joues, on renvoi le tout aux Texas (arghhh ! je sais ! ) et on attend. On attend longtemps… ça paraît très long… très très long, surtout au début, sur le site, j’avais accès au suivi et pendant presque trois semaines, rien. J’en étais à me demander si les échantillons ne c’étaient pas perdus quand un lundi à 1h45 du matin, je reçois un message qui m’indique que l’échantillon est arrivé au laboratoire. Et là c’est reparti, attente, patience, inspection du site toutes les heures, rien pendant quelques jours puis petit message qui m’indique que le laboratoire procède à l’extraction de l’ADN. Et attente de nouveau… de nouveau petit message m’indiquant que mes résultats sont en cours de décryptage. J’ai l’impression que ça n’en fini pas… enfin alors que je commençais à ne plus y croire, petit message salvateur, mes résultats sont à disposition sur le site, cliquez sur le lien…

J’espère qu’en me lisant vous avez eu un petit aperçu de l’attente que j’ai enduré. 😉

Un peu fébrile, je clique sur le lien. Je me retrouve sur le site, où l’on me demande si je veux commencer, comme si ça ne se sentait pas que je bouillais d’impatience depuis des semaines. Je valide et une superbe petite animation se lance, faisant apparaître la sphère terrestre en 3D, qui tourne et à chaque révolution affiche en couleur la région d’où vient mon ADN accompagnée d’une petite mélodie assaisonnée au parfum de la région en question. Très chouette.

Alors plusieurs choses, je craignais de n’avoir que de l’ibère en moi, c’est aussi en partie ce qui avait motivé le choix du laboratoire le moins cher, pourquoi dépenser beaucoup si en définitive on confirme une évidence. Et bien, la première info c’est que je ne suis pas qu’ibère, même si je pète les scores dans cette région !

La seconde surprise, vient de Grèce, je ne sais pas d’où coule ce sang grec, mais il est là, quelque part dans mes veines. C’est vrai que j’aime bien le houmous, les spécialités turques et libanaises, mais bon…

Ensuite c’est l’apocalypse (au sens de révélation), à dose homéopathique, mais l’apocalypse quand même. Je viens de Finlande ! Finlande !!! J’hallucine ! Le pays du père Noël, de ses lutins, des rennes, un peuple silencieux et connecté à la nature. Je déteste le froid, je sais d’où ça vient.

Pour finir cet assemblage génétique, on saupoudre le tout d’un peu d’irlandais, écossais ou gallois et d’une larme de peuples des Balkans.

Pour une révélation c’en est une. Je suis donc très surpris et satisfait par les résultats et probablement j’approfondirais la question avec un autre laboratoire qui fourni des résultats complémentaires.

Le petit truc sympa supplémentaire, c’est que le site nous propose des parents plus ou moins éloignés qui ont aussi fait le test, d’un seul coup ça fait du monde, beaucoup trop de monde pour une tablée familiale. Et on se rend compte que le monde est petit, très petit, en parcourant tous ces descendants d’un même ancêtre, éparpillés au quatre coins de la planète.

J’en ai contacté un qui semblait assez proche, géographiquement et généalogiquement. Échanges très sympathique, mais nous n’avons pas réussi à trouver la branche où nos deux familles se sont séparées.

Par contre ce qui est très frustrant, c’est que pour accéder à plus d’infos, il faut payer un abonnement au site. C’est dommage !

Pour finir, je vous souhaites de bonnes fêtes de fin d’année !





Promenade en transe

22 06 2018

chenedelavierge_viroflayIl y a quelques temps, j’ai rencontré Adeline Raffin, elle est psychopraticienne, parmi les outils qu’elle maîtrise, on trouve l’hypnose et les thérapies brèves. En discutant, nous est venue l’idée de mêler nos compétences et d’organiser une promenade énergétique en transe.
Elle aura lieu près du chêne de la Vierge à Viroflay, dimanche 1er juillet 2018 de 11h00 à 15h00. La journée sera émaillée de rencontres énergétiques,  d’exercices pour vous permettre d’atteindre d’autres niveaux de conscience et d’un pique-nique.

Vous l’aurez compris, c’est une première pour nous et afin de faire quelques « réglages », le nombre de places est limité et la promenade est gratuite. Si vous voulez participer contactez-moi par sms.

* Le site d’Adeline c’est par ici.
* Prévoyez de quoi pique-niquer, de quoi vous hydrater.
* Pour le point de rdv, contactez-moi par sms.





L’œil en balade

7 06 2018

IMG_3066 [640x480]Un petit post pour mettre en avant le site où je regroupe mes photos. L’objectif de ce site, c’est de vous faire travailler les ressentis. Sur chaque photo il y a des énergies, des choses invisibles qui pourtant laissent une empreinte. Vous voulez jouer ? C’est simple, lisez le titre de la photo que vous avez sélectionné puis regardez la photo, enfin exprimez oralement ce qui vous vient à l’esprit, quoique ce soit. Vous pouvez jouer à plusieurs, chacun proposant ses informations. Bonne balade !

Cliquez ici pour accéder à l’oeil en balade.





A gauche toute !

18 05 2018

Macron n’a pas décidé de rejoindre Mélenchon, non, rien à voir avec la politique. C’est un petit retour sur le corps, mon corps et tous ses petits problèmes qui chose étrange se manifestent à gauche.

Je vais commencer par le début de l’année, lors de l’épisode neigeux. J’ai des crampons que je peux ajouter à mes chaussures et m’évitent bien des dérapages, mais je suis passé voir ma mère et elle n’a pas de crampons. Comme elle devait sortir son chien trois fois par jours, je lui ai prêté les miens, je me suis dit que c’était moins risqué pour moi de sortir sans crampons que pour elle. Elle a complètement oublié de les mettre et le lendemain, j’ai fais une belle glissade qui ne m’a pas permis de conserver une certaine verticalité. Je me suis retrouvé en arrière, sur la main gauche et le pied droit. Le pied c’est normal, mais la main, n’a pas pour habitude de supporter subitement mes 75 kg. Malgré tout, je me suis redressé comme j’ai pu en essayant de garder un maximum de dignité. Bon sur le coup, comme souvent, je n’ai pas trop senti de douleur, mais au fur et à mesure que les minutes s’écoulaient, elle c’est installée au poignet et à l’épaule. Je me suis fait un soin, la douleur au poignet c’est estompé en quelques jours, mais l’épaule à persisté.

Quelques semaines plus tard, je pars en Bretagne, l’épaule est moins douloureuse, mais lorsque j’effectue certains gestes, lever le bras ou insérer ma carte pour payer le péage, je déclenche une vive décharge en haut du bras. Il y a quatre péages pour aller en Bretagne, un vrai calvaire ! Une fois sur place je n’arrête pas de porter des trucs, de couper d’autres trucs, de creuser à gauche ou piocher à droite. Et puis, un jour ou je suis en consultation téléphonique dans le jardin, comme d’habitude, je me balade au grès de la conversation, je me retrouve à devoir passer par dessus du bois entreposé là dans l’attente de son utilisation pour construire la serre semi-enterrée. Il a plu, normal on est en Bretagne me diront certaines mauvaises langues et le bois est bien mouillé, je pose le pied sur un planche et me retrouve propulsé dans les airs. La propulsion n’a pas durée longtemps, je m’écrase sur le tas de bois, m’enfonce le coin d’un panneau épais de 2 cm dans le côté gauche, assez violemment pour casser le panneau, ressentir une vive douleur et avoir le souffle coupé… je me relève comme je peux sans lâcher le téléphone et en continuant à parler tant bien que mal à la personne en consultation. Au bout de quelques pas, je prend conscience que je me suis bien amoché, me demandant même si je ne vais pas aller rapidement aux urgences, d’après les douleurs et les sensations que je ressens, je me suis au minimum fêlé une côte et je dois avoir un décollement de la plèvre. Je termine la séance et commence à scanner ma poitrine, je me fais un soins avec la main droite en visualisant mes côtes et mon poumon. Je fais circuler l’énergie bloquée par le choc. Constatant que ma respiration est stable même si je ne peux pas inhaler à fond, je renonce aux urgences.

De retour en région parisienne, après la torture des quatre péages, le pneumothorax guéri rapidement et je laisse ma côte se ressouder tranquillement. Une semaine avant de repartir en Bretagne tout est rentré dans l’ordre sauf la douleur au niveau du bras quand je fais certains mouvements.

Re-péages, re-douleurs… je me lance dans le montage de la structure de la serre semi-enterrée, pas facile quand on a mal au bras. J’en parle à un ami qui a de bonnes capacités énergétiques et qui me fais un petit soin au niveau de l’épaule. Je me sens mieux ! Super ! Je lève plus haut le bras et c’est nettement moins douloureux, parfait, je me lance totalement dans le montage de la serre… et c’est le drame ! J’enchaine coup de marteau sur coup de marteau jusqu’à ce que je ripe sur un clou trop usé et que la course de mon marteau se termine sur mon pouce gauche, de plein fouet, bien à plat sur la totalité de la dernière phalange, j’ai des petits doigts. Je lâche le marteau sous une pluie de jurons, retire difficilement le gant qui devait protéger ma main. Pas de coupure, pas de saignements externes, mais le pouce à été pris entre le bois et le marteau et il n’a pas aimé ça, mais alors pas du tout. Je fais quelques passes autour du doigt et pour finir enfourne le pouce dans ma bouche faisant la ventouse entre le palais et la langue. J’ai fais ça pendant une heure, peut-être plus. Au final, j’ai sauvé mon ongle, en tout cas au moment où j’écris ces lignes, j’ai eu un beau caillot de sang sur la pulpe du pouce, deux petits de chaque côté à mi-ongle et une légère coloration à la naissance de l’ongle.

On pourrait croire que tout s’arrête là… ayant moins mal au pouce, il fallait sans doute que j’exprime encore quelque chose à gauche ? Ben je me suis cassé un bout de dent, une prémolaire inférieure gauche ! J’attends le verdict du dentiste dans quelques jours… mais j’espère que ça va s’arrêter là. J’ai visiblement du mal à comprendre quelque chose en lien avec ma gauche… qu’est ce que ça peut être ?

Je vous propose un sondage, histoire de voir ce que vous en pensez, vous pouvez proposer d’autres réponses.
Cliquez ici pour accéder au sondage.





Hebdomad’AIR

2 03 2017

11_IMG_5064 [640x480]De retour sur le blog après une longue, très longue absence. Je vous propose un nouveau type de rencontre, hebdomad’AIR !

Hebdomad’AIR, c’est simple, il s’agit de prendre l’air, une fois par semaine.
Inspirer à pleins poumons, l’innocence, la nature, l’énergie qui nous entoure, se remplir de bienfaits.

C’est aussi expirer jusqu’au fin fond des alvéoles, tous les déchets que notre corps emmagasine, vider les poubelles énergétiques, physiques, mentales, spirituelles.
Avancer dans notre vie plus facilement en s’accordant une heure pour soi.
Rencontrer des personnes qui nous ressemblent.
Partager.

Voilà, Hebdomad’AIR c’est tout ça, et peut-être un peu plus.

Si vous êtes tentés, retrouvez-moi, pour commencer, au jardin Atlantique les :
Mardi 7, 21 et 28 mars de 11h à 12h.
Vendredi 10, 24 et 31 mars de 12h à 13h.

Merci de confirmer votre présence par email (ici).
Tarif sur don.